Elections en Algérie , 2019 , une année particuliére !

Tous les algériens ont un avis sur les élections . Les pro-Bouteflika  comme les anti-Bouteflika sont aux aguets .Des commentaires de tous styles fusent sur les forums et les différents réseaux sociaux.
Il faut tout de même reconnaitre que chacun des présidents algériens à marqué le pays par son empreinte .Tout est critiquable mais tachons de voir le coté positif de chacune de ces présidences.
Benbella et la délivrance de la colonisation , la fin des cireurs de chaussures! 
Boumediéne est la reconnaissance de l'Algérie à l’international !
Chadli et le pluralisme politique

Président Algérie 1962-2018

,un pays avec  des partis politiques différents !
Boudiaf est le président intègre et franc  comme J.F. Kennedy aux Édes positions de président par intérim qui ont égaleBoumediennement tats unis !   
Zéroual est le président qui place l’intérêt de  l'Algérie avant l’intérêt de la personne !
Bouteflika est le réel développement de l'Algérie comme pays émergent !
Peu importe le futur président à condition qu'il continu de hisser le pays vers le haut au niveau technique ( satellite....), infrastructure ( autoroute,tramway , métro, tgv.. ) , social (aide au logement, jeune entrepreneur, entrée de gaz dans les maisons,eau à disposition des particuliers ...) ,  industriel (construction automobile....) , économique (aide à l'exportation ...) , éducation (construction école ...),sécurité ( terrorisme,banditisme,voyous....) ..........
Je suis conscient d'avoir omis des personnalités qui mérite également la place dans le classement présidentiel.En effet , la politique algérienne variée à permis a de nombreuses personnes de prendre le poste de président par intérim qu'ils ont tenus plus que correctement.
Par exemple , le premier president provisoire algérien :   Ferhat Abbas .
Rabah Bitat  était président par intérim à la suite de Boumedienne . 
Ali Kafi était également président intérimaire  avant Zéroual.
Beaucoup d'hommes de grande valeur ont forgés l'Algérie. Le résultat n'est pas encore parfais mais il vaut mieux aider par des critiques constructives que le simple dénigrement des personnalités en place.D'autant plus que les pays émergents ont également des difficultés parfois plus grave que l'Algérie (Argentine , Mexique, Thailande , Nigétia .....).

Taux de fréquentation du Métro et Tramways (2018)

Mostaghanem

Taux de fréquentation du Métro et Tramways

Métro Alger:....................32,089 millions (en 10 mois)

Tramways
1 Alger:..........................19,441 millions (en 10 mois)

2 Sidi Bel Abbès:...............13,729 millions (en 11 mois)

3 Oran:...........................12,377 millions (en 11 mois)

4 Constantine:...................7,921 millions (en 11 mois)

5 Sétif:............................5,125 millions (en 7 mois)

6 Ouargla:........................4,141 millions (en 9 mois)

7 Mostaganem :................en cours de construction
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Tourisme en Algérie : Un secteur à la recherche d’une thérapie de choc

Les potentialités touristiques de l’Algérie sont indéniables. Voilà un pays que la nature a pourvu de toutes les grâces, allant d’un littoral de plus de 1200 kilomètres, à l’immensité d’un Sahara envoûtant, en passant par des forêts envoûtantes et des montagnes majestueuses, mais qui pourtant peine à lancer une industrie touristique qui lui tend, pourtant, grands ouverts ses bras.

Nous ne parlerons pas des grands pays touristiques que sont la France avec 86 millions de touristes en 2017, l’Espagne avec 82 millions, l’Italie, la Chine ou les Etats-Unis qui oscillent entre 77 et 58 millions de touristes, mais simplement de nos proches voisins. Le Maroc avec plus de 11 millions de touristes dans la même période, l’Egypte avec 8,2 millions ou la Tunisie avec 7,1 millions. Des chiffres qui donnent le tournis quand on sait que dans la même période l’Algérie n’a pu compter que 2,5 millions de touristes. Et encore que ce chiffre est en nette augmentation par rapport aux années précédentes puisqu’il a connu un bond de 20,2%.Le chemin est encore long, amis il s’agit de faire le bon diagnostic d’abord pour ensuite pouvoir administrer la bonne thérapie qui pourrait faire sortir le tourisme de sa léthargie.

Le gouvernement algérien veut « cerner » le phénomène social des haragas

Le phénomène de l’émigration clandestine par la mer (ou harga) connait ces dernières années une « évolution constante » ayant donné lieu au départ du pays de centaines de jeunes algériens vers une « destinée incertaine », déplore le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de  l’Aménagement du territoire.

Selon le ministère, « abstraction faits des statistiques qui font état de la disparité des nombres des candidats à cette aventure risquée, il demeure indéniable qu’aujourd’hui nous nous trouvons face à un phénomène, source d’inquiétude à tous les niveaux, dont les dimensions autant que les  causes et les analyses sont multiples ».

« Néanmoins, la certitude est que nous vivons ces derniers temps et de manière récurrente, des drames dus à la perte de concitoyens de différents âges, en plus de la perte dramatique de nos concitoyens : enfants, jeunes, adultes, hommes et femmes, le phénomène de la harga qui a des répercussions négatives à plusieurs niveaux requiert, d’être contenu et éradiqué, d’une  part des mesures rapides et efficaces, déjà engagées par les pouvoirs publics, et d’autre part, un large débat sur les questions qui lui sont liées de façon directe ou indirecte ».

Pour le ministère, ce qui a rendu cette situation « plus complexe », c’est sa « large » exploitation par les réseaux sociaux et son traitement « inconvenant » par les médias dans certains cas, au point ou ce sujet est devenu synonyme « de démoralisation et d’incitation à l’acte, ce qui n’a pas manqué de nuire à l’image de notre pays à l’étranger ».

Le forum de deux jours s’est tenu en présence du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, ainsi que d’autres membres du gouvernement et des représentants de plusieurs secteurs et d’experts nationaux et internationaux.

Alger: le rôle important des ânes dans le ramassage des ordures ménagères à la Casbah

Sans ses ânes, la Casbah d’Alger, cité millénaire classée par l’Unesco au patrimoine mondial de l’Humanité, croulerait sous les ordures, ses ruelles étroites, sinueuses et parsemées d’escaliers empêchant l’accès de tout véhicule.L'âne restera, pour longtemps encore, à la fois le maître et l'indispensable serviteur de La Casbah d'Alger. les éboueurs de la casbah d'Alger, fixent de grands paniers sur leurs ânes. Ces paniers sont appelés "chouaris". Chaque éboueur travaille avec un ou deux ânes, qui connaissent par coeur le circuit à suivre.La casbah d'Alger s'étend sur 105 hectares. Les maisons sont construites sur une forte pente. Pendant plus de 7 heures les éboueurs et leurs ânes grimpent et descendent de raides escaliers, pour collecter les ordures et cela depuis 5 siècles.L'unité de cavalerie de la casbah (le vrai nom du service de nettoyage) compte 52 ânes. Elle travaille 7/7. Quand les équipes du matin ont fini leur journée, d'autres les relaient l'après-midi. On croise tout le temps des ânes dans la casbah ! Chaque jour, plus de deux tonnes de déchets sont collectés.

Moment de détente pour les Algériens !

Algérie: l’élection présidentielle est fixée au jeudi 18 avril 2019

“C’est officiel, le président de la République a décidé que l’élection présidentielle se déroulera le jeudi 18 avril 2019. A cet effet, le corps électoral a été convoqué ce vendredi, selon un communiqué de la présidence”, rapporte le site Algérie Eco. Et ce, conformément aux dispositions de la loi relative aux élections.

Top des spécialités culinaires du Maghreb, allez rajoutez des épices !

1) COUSCOUS
On peut dire que c'est le symbole de la cuisine du Maghreb ou en tout cas, le plus connu mondialement.
 2) BRIOUATS
Une feuille de brick, une farce et le tour est joué.
3) TAJINE
Alors oui, Tajine désigne aussi bien le contenu que le contenant, aussi bien le plat que la recette. Tellement de sortes de tajines différents qu'il aurait fallu en faire un top à lui tout seul.
4) PASTILLA
Sucré, salé, un régal !
5) HARIRA
Une soupe très riche pour tenir toute une journée
 6) TLITLI
Des oeufs, des pâtes et de la viande
7) CHAKCHOUKA
A la différence de la ojja, qui est juste de la tomate et des œufs.
8) CHORBA
La soupe à la viande

9)  LHAM LAHLOU
Un plat de fête mythique (mariage, fiançailles…), préparé aussi pendant le mois de ramadhan, ou même à la réception d’invités surtout quand on veut leur faire honneur.
 10) LES PAINS
Comme dans beaucoup de pays du monde, le pain est très présent dans la gastronomie maghrébine que ce soit en Algérie, en Tunisie ou au Maroc. Exemple du Matlou3 ou Kessra.
11)  KAMOUNIA
C'est le cumin qui a donné son nom à ce plat
12)  MLOUKHIA
Plein, plein, plein d'épices !
 13) MAAKOUDA 
 (galette de pommes de terre au persil et au cumin)
14) MECHOUI
Un mouton ou un agneau entier rôti à la broche, sur les braises d'un feu de bois.
15)   BOULFEF ou MELFOUF
 Un plat de la cuisine algérienne simple mais tellement bon…!!
16)  BAKLAWA
Le gâteau des sultans !
17) CORNES DE GAZELLE
La pâtisserie préférée en occident
18) MAKROUT
Pâtisserie très connue avec diverses variantes

19)  THE A LA MENTHE
A verser de trèèèèès haut !

LABELLISATION DES PRODUITS AGRICOLES ALGERIENS

L'Algérie dispose de plus de soixante produits agricoles ou d'origine agricole potentiellement susceptibles d'être labellisés. Le ministère de l'Agriculture ambitionne justement, de labelliser au cours de l'année 2019, une dizaine de ces produits du terroir.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – «Nous avons recensé des produits  labellisables à travers plusieurs wilayas du pays», assure Hamid Hamdani, directeur de l'organisation foncière, de la mise en valeur et de la protection des patrimoines au ministère de l'Agriculture.
Des chefs de file ont été désignés pour constituer des sous-comités spécialisés et tous les acteurs concernés par cette opération ont été impliqués, notamment des institutions techniques et des universitaires.
Depuis la mise en place de l'ensemble du dispositif réglementaire, trois produits ont été concernés : la date de Deglet Nour de Tolga (Biskra), la figue sèche de Béni Maouche (Béjaïa), et l'olive de table de Sig (Mascara).
«Les deux premiers produits ont été labellisés. Quant au troisième, son dossier a pratiquement abouti. Le Comité national de labellisation va l'examiner dans les semaines qui viennent» «Nous avons aussi le fromage de Bouazza d'Oum-el-Bouaghi dont le dossier connaît une avancée. Le cahier des charges a été finalisé et va être soumis à l'examen du Comité national de labellisation.»
L'Algérie compte un potentiel de 60 produits qui sont potentiellement «labellisables» dont 30 ont été identifiés plus au moins structurés.
Qualifiant le système de labellisation de «complexe», il explique que cette reconnaissance n'est pas opposable uniquement sur le plan national mais elle doit être opposable sur le plan international.   Cette démarche nécessite dans nombre de pays, entre deux à trois ans par produit. «Il y a beaucoup d'aspects à prendre en charge notamment, l'opposition, la définition géographique, la caractérisation, la notoriété, et autres».
Le 5 novembre a été consacrée Journée nationale de labellisation.
Parmi les dossiers de labellisation  celui de l'huile d'olive de Nath Ghobri sous la dénomination de «Achvayli Nath Ghobri». Issu de neuf communes réparties à travers les daïra de Azazga et de Bouzeguène .«Cet olivier de montagne gorgé de soleil est arrosé naturellement par la pluie et les neiges et pousse dans un maquis méditerranéen très aromatique constitué essentiellement de lavande et de lentisque», dit-il.
Il estime que le label va mettre en valeur le produit et encourager à cultiver cet olivier et augmenter ainsi la production. Ry. N.

Les « pyramides » de Frenda en Algérie gardent de nombreux mystères

Vieilles pour certaines de plus de 16 siècles, les djeddars de Frenda, 13 « pyramides » érigées sur deux collines voisines dans le nord de l'Algérie, gardent de nombreux secrets pour les chercheurs.

Frenda , prés de Tiaret

Seules certitudes : ces 13 édifices de pierre à base carrée et élévation pyramidale à degrés, uniques en Algérie et au Maghreb, étaient des monuments funéraires et ont été construits entre le 4e et le 7e siècle près de Tiaret (250 km au sud-ouest d'Alger).
Les avis divergent en revanche sur ceux qui y furent inhumés - probablement des dignitaires. A l'époque, des rois berbères régnaient dans la région sur de petites principautés. Mais leur histoire est mal connue et il en reste peu de traces.
Les 13 « pyramides » ont été construites sur trois siècles à une époque de profonds bouleversements dans le nord de l'Algérie, qui était alors la Numidie romaine : déclin de l'Empire romain d'Occident, invasions vandales puis byzantines et début de la conquête arabe.
Ces djeddars monumentaux - jusqu'à 18 mètres de hauteur et une base variant entre 11,5 m et 46 m de côté - sont érigés sur deux collines distantes de 6 km près de Frenda, les trois plus anciens sur le djebel (« mont ») Lakhdar et les dix autres sur le djebel Araoui.Ce n'est qu'au XIXe siècle, avec les premières fouilles archéologiques modernes en Algérie qui accompagnent la colonisation française entamée en 1830, que les djeddars suscitent l'intérêt de fonctionnaires et militaires français. Ils en explorent neuf à partir de 1865.Il faut ensuite attendre les travaux de l'archéologue algérienne Fatima Kadra.Les djeddars figurent au patrimoine national algérien depuis 1969. Les autorités et archéologues du pays souhaitent les faire inscrire sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco.

L'Armée poursuit les opérations de déneigement des zones touchées à Bouira, Jijel et Tizi Ouzou

Les opérations de déneigement et de désenclavement des zones affectées par les importantes chutes de neige enregistrées ces dernières 72h menées par les éléments de l'Armée Nationale Populaire (ANP) se sont poursuivies samedi dans plusieurs localités des wilayas de Tizi Ouzou, Bouira et Jijel, indique un communiqué du Ministère de la Défense Nationale (MDN).

 "En continuité des opérations d'intervention menées par les unités de l'Armée Nationale Populaire à travers les différentes régions du Nord pays pour désenclaver et prêter aide et assistance aux citoyens touchés suite aux fortes chutes de neige, des détachements relevant du secteur militaire de Bouira au niveau de Oued el Berdi, El-Hachimia, El-Saharidj, Mzarir, Tikijda et de Tizi-Ouzou au niveau de Larbaa Nait- Irathen/1°RM et de Jijel au niveau de Selma et Khang el Djemaa/5°RM se sont intervenus le vendredi et samedi le 11et 12 janvier 2019, afin de rouvrir les routes et les chemins coupés et de prêter aide et assistance aux habitants, et ce, à travers la mobilisation, dès les premières heures, de tous les moyens humains et matériels notamment les engins de réouverture des route enclavées par la neige" . 

El-Oued exporte, pour la première fois, de la pomme de terre vers la France

Une opération d’exportation d’un conteneur de 20 tonnes de pommes de terre vers la France, via le port d’Alger, a été effectuée vendredi 11 janvier 2019  depuis la commune de Hassi-Khelifa (30 km Est d’El-Oued).
L'opération a bénéficié de facilitées accordées par  les Douanes algériennes,   dans le cadre la politique d’amélioration de la qualité des prestations et du service public.
Cette opération d’exportation entre dans le cadre de la stratégie arrêtée par la Chambre de l’Agriculture d’El-Oued visant à ouvrir de nouveaux marchés extérieurs à la production agricole nationale, pour prendre en charge les surplus de production et impulser une dynamique économique par la diversification de ressources hors hydrocarbures, a indiqué le président de la Chambre, Bekkar Ghemmam Hamed.
L’exportation de la pomme de terre, la première du genre cette saison, figure parmi les actions prioritaires de la Chambre dont la mission est de se constituer en médiateur entre l’agriculteur (producteur) et l’opérateur (exportateur) à travers l’exploration de perspectives de commercialisation de la production agricole.(Algérie1.com).

Les syriens en Algérie, ils constituent une richesse pour leurs pays d'acceuil

Les syriens sont  venus en un peu en masse ces dernières années , en Algérie ,  suite à la guerre-civile syrienne. Ils s'installent, se lancent rapidement dans une activité à leur compte et s'intègrent assez aisément dans l'environnement. Ils sont généralement courtois et travailleurs et ils ont pas mal enrichi l'offre économique notamment en restauration et particulièrement  à Alger.
Par contre , ne pas confondre les réfugiés Syriens d'Algérie qui font  la manche. Ils sont les Doms ,qui est communauté tsigane de Syrie qui mendient  comme les Roms des pays de l'est qui ne sont pas des travailleurs .Ils parlent le domari et font  partie du peuple dom, le groupe le plus vulnérable parmi les réfugiés syriens. On les considère comme des gitans. Ils sont donc partout, et pourtant invisibles (comme à Istanboul ...).

Aïn El Hadjar (en tamazight : ⵜⴰⵍⵣⵔⴰⵏ Talezran (Wilaya de Saïda)

Aïn El Hadjar (en tamazight : ⵜⴰⵍⵣⵔⴰⵏ Talezran ou Talezrant, en arabe : تالزران ) est une région de la Wilaya de Saïda en Algérie.
 Talezran etait une ancienne region amazigh avant d avoir devenir une village construit en 1875 par la Société Franco-Algérienne dans le Département Oran arrondissement de Mascara à au Sud de Saïda à l'entrée des Hauts-Plateaux. Immense chantiers d' Alfa et Ateliers de compression
Leur ancienne dialecte était la chelha un dialecte très proche du rifain, Aujourd'hui ce parler a quasiment disparu.

Ressources en eau en 2018 : Réception de 5 grands barrages et concrétisation de 10 transferts

Dans la perspective de renforcer et d'améliorer l'alimentation en eau potable (AEP), le secteur de cette ressource vitale a enregistré en 2018 la réception à l'échelle nationale de cinq (5) grands barrages et la concrétisation de 10 transferts d'eau.Et c'est ce qu'a bien apprécié le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, qui s'en est félicité, lors de sa visite dans la wilaya de Jijel. Le secteur des ressources en eau a réalisé ce "bond qualitatif'' suite au recul de la pluviométrie en 2017 , a indiqué le ministre, lors du lancement de l'opération de remplissage du barrage Tabellout, dans la commune de Djimla (sud de Jijel).
"Grâce aux réalisations concrétisées en 2018 par le secteur des ressources en eau, notamment le  transfert d'eau reliant les wilayas de Naâma, Sidi Bèl-Abbès et Tlemcen sur 600 km, le taux d'alimentation en eau potable a été porté à 75% puis à 80% fin 2018'' . D'autre part, M. Necib a  déclaré que d'autres projets du secteur des ressources en eau seront réceptionnés " courant  2019''. 
Il sera ainsi procédé "prochainement" à la production de la première drague algérienne de désenvasement des barrages . Cet engin qui aura des performances analogues à celles des dragues de production étrangère sera fourni par une société algérienne . Les travaux de désenvasement seront assurés par une entreprise nationale. Ces futures dragues assureront le désenvasement de 11 barrages. Dans la wilaya de Saida, un modèle de station de traitement d'eau et sa décalcification, fabriquée localement, est en phase d'essai.
Cette station de traitement d'eau potable en cours d'essai au niveau d'une entreprise publique d'Alger, assurera le traitement de l'eau et sa décalcification. Les composantes de cette station sont à 80 % fabriqués localement. La station  sera installée à Aîn Skhouna et permettra de purifier l'eau et la débarrasser du calcaire qu'elle renferme. Le ministre des Ressources en eau poursuivait  sa visite à Sétif, où il devrait inspecter depuis la commune Tachouda, le barrage Draâ Diss et présider le lancement d'une opération de reboisement avant de s'enquérir de l'état d'avancement du projet d'approvisionnement en eau potable des communes de Beni Ourtilane, Ain Legradj, Beni Chebana, Beni Mouhli, Guenzet, et Draâ Kebila à partir du barrage de Tichy-Haf (Bejaia).
 ( Saïd B Publié dans Le Maghreb le 08 - 01 - 2019 ).

Parc d'attraction et zoo de ‘’MOSTALAND’’ : Plus de 100.000 visiteurs aux vacances d’hiver

Prés de  100.000 visiteurs  durant les vacances d’hiver au parc d’attractions et de loisirs ‘’Mostaland’’, dans la wilaya de Mostaganem .
 En effet, c’est durant la période du 22 décembre au 3 janvier 2019 , avec  le pic d’entrées du 31 décembre 2018  au 1er janvier 2019 , où le nombre de visiteurs a atteint 33.000 visiteurs.
Le wali de Mostaganem « M. Mohamed Abdelnour Rabhi » s'est rendu récemment à Mostaland afin d’inspecter les projets d'investissement en cours de réalisation notamment les deux hôtels de 800 lits et le premier restaurant en Algérie, de type « Drif »,  il a été proposé l’exploitation des 32 hectares restantes pour réaliser trois nouveaux projets écologiques.
Les projets en question comprennent  la réalisation d'un lac artificiel pour les oiseaux migrateurs, d’une zone de forêt  sur une superficie de 06 hectares clôturés ; il été recommandé également la réservation de lieux de détente pour les familles. Sachant qu’un nouveau plan de sécurité du parc, doté d’une douzaine de caméras de surveillance a été mis en service par le wali. Cet espace de divertissement dispose d’un site de 20 jeux pour adultes et enfants, d’un jardin aquatique «Kharrouba Aqua-parc», un zoo, une forêt de repos et de ballade, des restaurants, des locaux commerciaux, d’hôtel cinq étoiles, d’un centre de sports aux normes internationales, d’un espace de spectacles artistiques et un parking d’une capacité d’accueil de 5.000 véhicules.
 Le parc zoologique ‘’Mostaland’’ abrite une centaine d’animaux de 36 espèces dont les tigres royaux du Bengale, les loups polaires blancs, les lamas, les Babouins du Gabon, le crocodile du Nil, le lion d’Afrique et autres espèces algériennes en voie de disparition notamment le fennec, l’hyène et le singe Macaque ou Magot.