Les CHOUHADAS

 Mohamed Boukharrouba a pris le prénom de Boumediene du saint de l’ouest algérien, Sidi Boumediene qui en 1187 a participé avec une grande armée du Maghreb a la libération d’El-Qods sous le commandement de Salah Eddine El-Ayoubi.

La prise de Laghouat et de Touggourt, des Beni-M'zab du Mzab (1852) et celle du Souf,
  la bataille de Tit
 La bataille de Tit ou combat de Tit survenu à Tit, à environ 50 km au Nord-Ouest de Tamanghasset, est un épisode majeur dans l'histoire des Compagnies méharistes sahariennes. Il est considéré comme une "replique" du massacre de la mission Flatters.
 Le soulevement de Lalla Fatma N'Soumer
Le , le dernier réduit la résistance kabyle en Djurdjura est pris d’assaut par les troupes françaises. La maraboute Lalla Fatma N'Soumer est capturée
 La révolte de Bou Ziam
 Le , l’oasis de Zaatcha, dans le Sud algérien entre Biskra et Ouargla, dernier îlot de résistance des nomades conduits par Bou Ziam, compagnon d’arme d’Abd el-Kader, tombe aux mains des troupes françaises au bout de 53 jours de siège. Sur 7 000 soldats français engagés, 1 500, dont 30 officiers, sont tués ou blessés, et 600 meurent du choléra70.
L’Émir Abd el-Kader, Résistance berbère.
Abd El Kader attaque des tribus alliées de la France et bat le général Trézel.  L'émir dispose d’une fabrique d’arme à Miliana, d'une fonderie de canon à Tlemcen, et reçoit des armes européennes par le Maroc. Les troupes d'Abd El Kader sont victorieuses lors de la bataille de Sidi-Brahim (23 au 26 septembre 1845) engagée par le colonel Montagnac.
Soulevement en Algérie
Pendant toute la période de la colonisation , les algériens  se sont soulevés et rebellés contre l'occupation qu'ils n'ont jamais acceptés.
Les soulèvements ont eu lieu à des  périodes différentes  et concernant des  régions différentes sur l'ensemble du territoire.Des grands hommes  et parfois des femmes étaient  à la tête des soulèvements.Tout le pays est concernés .
 La révolte des Mokrani
La révolte des Mokrani, appelée localement Unfaq urrumi, la « guerre du Français »4, survenue le 16 mars 1871 en Algérie, est la plus importante insurrection contre le pouvoir colonial français depuis le début de la conquête de l'Algérie en 1830 : plus de 250 tribus se soulèvent, soit un tiers de la population de l'Algérie. Elle est menée depuis la Kabylie des Bibans par le cheikh El Mokrani et son frère Boumezrag, ainsi que par le cheikh El Haddad, chef de la confrérie des Rahmaniya.Près de 500 000 hectares de terres sont confisqués et attribués aux colons.
  la révolte de Margueritte
  Soulèvement des habitants du  26 avril au 01 mai 1901 : Aïn-Torki et Miliana « incidents de Margueritte » (selon la presse algéroise de l'époque) dirigé par Yacoub ibn El Hadj. (cf. Chronologie algérienne 1830-1962, T1 ; p 158/159). Arrestation de Yacoub Ibn El Hadj par l'autorité coloniale.Yacoub Ibn El Hadj et son second Thaalbi EL Hadj ben Aïcha, moururent au bagne dans des conditions étranges.
 Aïn-Torki (La fontaine du Turc), située à 40 km du chef-lieu de Aïn Defla et relevant de la daïra de Hammam Righa, a, vers 1885, porté le nom de Margueritte (sic). Ce dernier, commandant en Algérie la subdivision militaire de Miliana, s'est illustré contre les populations civiles, lors du soulèvement des Ouled Sidi Cheikh, en 1864. Six ans plus tard, nommé à la tête des 1er et 3e Chasseurs d'Afrique, Jean-Auguste Margueritte - étant alors le plus jeune général de division - meurt de ses blessures dans la bataille de Sedan contre la Prusse en 1870.

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Vue du centre d'Alger, la grande poste centrale

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