Constantine : balcon sur la Méditerranée

Pourquoi visiter Constantine ?

Parce qu’elle est unique : Constantine, la ville des ponts suspendus, offre des panoramas spectaculaires que l’on ne trouve nulle part ailleurs. Accrochés au-dessus des vertigineuses gorges du Rhumel, ses ponts — comme le Sidi M’Cid ou le Mellah-Slimane — dévoilent des vues à couper le souffle sur la vieille ville, les falaises et la vallée.

 Constantine : la cité des ponts 

Se promener sur ces passerelles, c’est comme marcher entre ciel et terre, avec la sensation d’avoir la ville et la nature déployées sous ses pieds. Ces paysages, dignes d’une carte postale, font de Constantine un véritable balcon suspendu au-dessus de l’histoire.

Constantine : la ville suspendue 

Et pour admirer cette beauté sous un autre angle, rien de tel que le téléphérique de Constantine. Glissant au-dessus des gorges et reliant différents quartiers de la ville, il offre une vue panoramique incomparable : un voyage aérien qui révèle la majesté des falaises, la profondeur des ravins et l’harmonie des ponts suspendus.

 Constantine : vertige et beauté 

L’expérience ne serait pas complète sans une pause gourmande dans l’un des restaurants offrant eux aussi des panoramas saisissants. Le restaurant Igherssan, avec son décor traditionnel et son balcon dominant les gorges, permet de savourer un repas ou un café tout en admirant directement les ponts suspendus. Plus moderne, le Qasar Restaurant, situé au Marriott, propose une cuisine variée dans un cadre élégant, avec une terrasse donnant sur une vue spectaculaire sur toute la ville. Ces lieux allient parfaitement plaisir culinaire et émerveillement visuel, prolongeant la magie de Constantine jusque dans l’assiette. 

Puit qui sert encore pour les éleveurs du Mechta Boutakhmaten et Boulaghrazen, près de M’Chira, 65 Klm S.O de Constantine

Ce puit est qualifié par les historiens de puit berbero-romain. Il est à environ 8kms de M'chila.

Tradition culinaire de l'Aid

L' une des tradition de la ville de Constantine a l'0ccasion de l'Aid El Fitr  c la préparation de  hannounaالحنونة pour Les enfants de la famille. Hannounette .Saha 3idkom

A Béjaïa également 

A Alger et Blida,  Delys  c une tradition les hniounette avec un oeuf  le matin de l'aid saha idkoum🌹🌹🌹🌹🌹

Patrimoine culturel : 2 tenues traditionnelles algériennes bientôt inscrites à l’UNESCO ?

Le patrimoine culturel algérien est vaste et reflète bien la superficie du pays. Un mélange de couleurs, de saveurs, de chants traditionnels qui viennent donner de la dimension à l'histoire d'Algérie. Tout ce patrimoine se doit d'être protégé, et les autorités compétentes travaillent à faire reconnaître les aspects de la culture algérienne internationalement. Après la reconnaissance du Rai comme patrimoine algérien par l'UNESCO, le Ministère de l'Art souhaite soumettre un autre dossier : celui des tenues traditionnelles de l'Est du pays.

Les tenues traditionnelles de l'Est algérien bientôt inscrites au patrimoine de l'UNESCO.

C'est officiel, l'Algérie a fait une demande pour les costumes traditionnels féminins originaires de l'Est du pays. Un dossier a été soumis à l'UNESCO en faveur de deux tenues traditionnelles très connues. La demande s'intitule : Costume de cérémonie féminin de l'Est algérien: connaissances et savoir-faire liés à la couture et à la confection d'ornements : Mlahfa et Gandoura et vise à protéger ce pan du patrimoine national.

Les ornements, un élément indissociable de la tenue traditionnelle algérienne

Si la pièce maîtresse d'une tenue traditionnelle est le vêtement, les ornements occupent une place tout aussi importante. C'est pourquoi le Ministère de l'Art a mis un point d'honneur à souligner ces détails dans le dossier soumis. Ce dernier a fait appel à des experts en bijoux traditionnels pour compléter le dossier, qui est composé notamment de la Chachia Soltani, les bijoux frontaux  Jbin  et Khayt Errouh, les ceintures (M'hazma, Hzam) ainsi que d'autres pièces.

Il s'agit aussi de présenter un à un les éléments individuels de la Mlahfa chaouia et de la Gandoura constantinoise (Qat et Qouit, Mendil, Ellehaf, El Kentil et les incrustations faites à la main).(Algérie 360, par Lamia F, avril 2023). 

Constantine : Reprise du téléphérique avant 2023

Cela fait près de cinq ans que le téléphérique de Constantine est à l'arrêt. Sa réhabilitation, ne serait pas liée  financement et serait levée avant la fin de l'année en cours.

 Ce moyen de transport majeur était des plus bénéfiques pour des milliers d'usagers. Le téléphérique résoudrait les difficultés de transport rencontrées par les 5.000 employés, toutes activités confondues du CHU et aux étudiants au même titre que les milliers de résidents des hauteurs de la ville.

Le téléphérique permet le transport de 2.000 passagers par heure grâce au 32 cabines mises en place et règle  la difficulté du trafic automobile reliant la zone nord de la ville au centre urbain qui est devenu un enchevêtrement inextricable de voies étroites continuellement paralysées.(Horizons.dz, abdelhamid Lemili, publie le 5 Nov 2022). 

Constantine : la plus ancienne ville algérienne et l'une des plus anciennes villes du monde

C'est la region d'Abdel Hamid Ibn Badis et de  l'Association des Savants Musulmans Algériens. Mais aussi, la ville des Martyrs Zigoud Yousef,  Mellah Suleiman et Didouch Mourad. La ville egalement de Malek Haddad, Reda Houhou et Tawfiq Khaznadar, ville  où ont étudié Kateb Yassin et Abdel Hamid Mehri, dans laquelle sont nés Zohour Lounisi, Shafia Boudraa et Ahlam Mosteghanemi..La ville de Yahya Qaydoum, la ville des cheikhs et Haji Muhammad Taher Farqani. 

 Ville des traditions et d"histoire,  ville des révolutionnaires et des élites. Ellepossède la plus grande université islamique et la sublime  mosquée du pays:  la mosquée Emir Abdel Qader. Il a connu des savants renommes :  Sheikh Muhammad Al-Ghazali et Al-Qaradawi ont vecus et etudied a Constantine. La ville de l'originalité et de l'urbanisation, de la civilisation et de l'usine d'élite, la ville de la magie, de la beauté et des ponts suspendu. 

La Djouzia de Constantine, du savoir-faire ancestral à la “marque déposée”

Véritable ravissement pour le palais, la Djouzia de Constantine, fruit d'un savoir-faire ancestral, est devenue une marque déposée sur le Vieux Rocher. Ce nougat tendre et parfumé, à la saveur tout en raffinement, riche en miel, parsemé de noix concassées est l'une des douceurs les plus appréciées dans la ville des mille et un délices.

Jadis préparée à la maison et réservée pour des moments de partage et de convivialité avec la famille et les amis, lors des soirées de Ramadhan, cette friandise incomparable a été propulsée au devant de la scène avec l'apparition de fabriques spécialisées. Elle est désormais le "must" des cérémonies, des réceptions et des fêtes de mariage. La Djouzia est également devenue le présent idéal que beaucoup de constantinois offrent aux amis, aux visiteurs.

Monument aux morts : Constantine

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ALGÉRIE : deux nouvelles usines de fabrication de panneaux solaires voient le jour

Selon le rapport du Commissariat aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique (Cerefe), deux nouvelles usines de production de panneaux solaires verront le jour en Algérie.

L’Algérie met en place de gros moyens pour atteindre ses objectifs énergétiques, notamment la production d’électricité à partir du solaire. Le pays du nord de l’Afrique se dotera bientôt de deux nouvelles usines de production de panneaux solaires. Le Commissariat aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique (Cerefe) l’a relevé dans son premier rapport annuel publié récemment en Algérie.

Une usine a Boukherana - 60 km de Constantine

L’usine en construction dans la zone industrielle de Boukherana, (à 400 km d’Alger), sera mise en service avant la fin de 2020. Elle appartient à Milltech . « Notre capacité de produire des modules standards et haute tension  dans les technologies monocristallines et polycristallines , des modules verre-verre ,bifaciaux et half cut cell, nous croyons que notre série de produits, fabriqué avec fierté en Algérie selon les normes  strictes de l’industrie et certifié , peut facilement satisfaire et dépasser toutes les attentes de nos clients, que ce soit en Algérie ou à l’étranger », explique l’entreprise algérienne.

Une usine à Ouargla

Une autre usine est en construction dans la wilaya de Ouargla. Ce sont en tout quatre unités de production de panneaux solaires qui fourniront le marché algérien et sous régional.

Une autre usine pour le montage des modules 

Parallèlement, une usine est en construction en Algérie pour la production de panneaux solaires et d’autres équipements, notamment les structures de montage pour les modules. Cet autre projet est développé dans le cadre d’une coentreprise entre la société algérienne SPS (Système Panneaux Sandwichs) et Qi-Energy, une entreprise basée à Dubaï aux Émirats arabes unis.

L'Algérie dans l’après pétrole, c'est maintenant ! 

Ces initiatives soutiennent la politique énergétique du gouvernement algérien qui veut produire 27 % de l’électricité du pays à partir des sources renouvelables d’ici à 2027, soit une capacité de production de 22 000 MW. (Sources:  Par Jean Marie Takouleu - lE 7 décembre 2020- Afrik 21).

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Mila (prés de Constantine) : Panique après de forts séismes

Au moins six secousses telluriques ont été enregistrées ce vendredi 17 juillet 2020 sur le territoire de la wilaya de Mila.

La première secousse de magnitude 4,5 sur l'échelle de Richter. L'épicentre de la secousse a été localisé à 1 km au Nord de la ville Sidi-Merouane.

Cinq autres secousses ont été enregistrées (3,4 degrés),(3,2 degrés),(3,4 degrés), (3,4 degrés) et (3,4 degrés).

 La protection civile n'enregistre aucun dégât matériel ou corporel hormis quelques fissurations relevées au niveau de certaines habitations du quartier de la vieille ville de Mila. Les équipes de la protection civile sont intervenus pour porter assistance psychologique à des habitants pris de panique.
 Le trafic sur la RN 27 entre Mila et Jijel a été interrompue momentanément en raison de chutes de rochers. Le pont de Oued Dib (prés de Sidi Mérouane) devrait faire l'objet d'une expertise.(Le Quotidien d'Oran-juillet2020).

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