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Bachir Youcef Sehairi, l’acteur qui a fait vibrer les téléspectateurs lors du Ramadhan dernier dans la feuilleton Wlad Lahlal, est membre du gouvernement de Tebboune, dirigé par le premier ministre Abdelaziz Djerad.

Sehairi a été nommé, ce jeudi, par le chef de l’État, Abdelmadjid Tebboune, au poste de secrétaire d’Etat chargé de l’Industrie cinématographique.
Né à Laghouat, Youcef Sehairi est ingénieur en électronique et diplômé en montage et script de l’Institut supérieur des métiers des arts du spectacle et de l’audiovisuel (ISMAS) de Bordj El Kiffan (Alger).
En 2013, alors qu’il était étudiant à l’ISMAS, Sehairi a participé à la grève de la faim de 11 jours décidée par les étudiants pour revendiquer l’équivalence de leurs diplômes.



Les croyances et les rituels dans la région de Msirda


            Les croyances et les rituels se distinguent entre les peuples et les pays, et les habitants de Msirda croient en beaucoup de choses ne faisant pas partie de leur religion mais qui sont devenues presque une partie intégrale du rite de la région.

 Les "Sedka" ou les "Ouaâda" qu'organisent les Msirda habituellement chaque année, sont aussi parmi les rituels les plus célèbres de la région; on y prépare le couscous, on lit le Coran…  "Ez-ziara" qui se pratiquent presque chaque lundi, vendredi et jeudi et signifie la visite des tombeaux dans le but d'avoir la bénédiction des Marabouts. Cette croyance a presque disparu ces dernières années et c'est dû surtout à l'évolution des  consciences et du niveau culturel.  Bien qu'il ne soit pas habituel dans l'Islam de prier ces saints, cette pratique ancestrale perdure pour ceux qui viennent se recueillir ou demander une faveur. Les marabouts, également appelés walis, cherifs ou saints, sont en général enterrés dans de petites chapelles. Les marabouts de la région sont nombreux, parmi eux:  Sidi "Maâtouk"; conçu pour la toux, Sidi "Lehcen", conçu pour les obstinations et les mauvaises humeurs, "Sidi mhamed ben Yahia" pour les malades "mas mina lgin".                                                                                                     Coutumes et traditions : La célébration des diverses occasions religieuses et sociales

  Le mariage est parmi les évènements les plus importants que fêtent les Msirda dans la région tout comme les autres sociétés arabes et musulmanes, puisque c"est un intérêt humain qui protège la société contre l'affaiblissement moral.  Les fiançailles sont le premier pas au mariage et  la mère est chargée de choisir elle-même sa belle fille, cette mission est accomplie dans des rassemblements féminins lors des mariages, des fêtes de circoncision ou même des funérailles.    A Msirda, les conditions ou les "normes" de choisir sa belle fille sont nombreuses: la conduite de la mère,  l'origine ethnique, le  jeune âge, la beauté et surtout la maîtrise dans l'exécution de travaux particuliers à la maison. Quant aux qualités souhaitables  au jeune marié: la vigilance et la persévérance à travailler, la piété et droiture et l'âge.  
 La célébration du mariage est  tenue habituellement durant la saison  d'été, elle s'est raccourcie à trois ou quatre jours au plus. Le drapeau vert planté sur les toits de la maison est signe du début des célébrations, bien que cette coutume est vue très peu aujourd'hui. Toute la famille et les amis célèbrent cette cérémonie du jour de "rbet lhanna" pour les mariés au jour de "lilet dokhla". Les invités ramènent des cadeaux, dansent et chantent leurs célèbres chanssons de "El- ssaf" très connues dans la région.  "La mariée atteint sa nouvelle maison, avec sa tenue toute blanche "hayek"              et  un écharpe vert couvrant son visage, et ne se dévoile qu'à l'arrivée du marié habillé d'un "Djilbab, selham et aâmama toute blanche", chose qui n'a plus de place aujourd'hui car le "Hayek" est remplacé par la robe blanche européenne et le "djilbab" et remplacé par le costume noir". 
  Des équipes folkloriques sont invitées pour célébrer cette nuit: l'équipe de "l'âarfa", ou l'équipe de "chioukh", qui chantent et dansent "Essaf" toute la nuit.  Le lendemain la mère de la mariée prépare le "Berkoukes" et le ramène à la maison du marié, d’où le nom "nhar Berkoukes ou Guesâa". Mais cette coutume est rare de nos jours ci. 

Quelques pratiques de traditions au cours de la célébration du mariage - La dispersion du soufre autour de la maison tôt le matin afin d'expulser les diables, en plus de divers essences de fines herbes. - Mettre un collier en or autour du cou du marié pour que sa vie soit exempte de tout défaut tout comme l'or pur.
 Baptême

Dans la société de Msirda, la préférence pour le sexe reste inchangée, celle pour les garçons est le souci de certains pères, cependant l'acquisition de la culture religieuse diminue peu à peu cette attitude sévère.  Après la naissance du bébé, la maman est servie d'un café très chaud et de "zemitt", le "Berkoukes bel âachoub" .Ces repas sont appropriés pour les parturientes, ils les aident à surmonter les douleurs et à récupérer rapidement.  Chez certains, le nouveau né habillé d'un "bernous" antique d'une piété connue dans la région.  "legmata" est l'habillement essentiel pour le bébé dès son arrivée au monde, pour qu'il grandisse sans déformations corporelles.    Le jour du "Sabaâ" (le septième jour), on assiste à l'abattage du mouton le matin et des différentes festivités "folkloriques" le soir.  

– Circoncision 
C'est l'une des coutumes que les Msirda célèbrent encore de nos jours, les enfants sont circoncis dès l'age de 2 à 6 ans. La veille du jour de l'opération, le père donne une fête.  Le lendemain à l'aube l'enfant est circoncis par un "Hajjam" qui se sert de ciseaux et ne met aucun pansement, il se contente de tremper la plaie dans la 'teinture'.  La famille continue le traitement jusqu’à la guérison qui survint au bout de 5 jours environ. Une fois l'opération terminée avec succès,  à sa sortie de la chambre,  l'enfant avec sa tenue blanche;  le "terbouch" rouge et la "belgha" blanche est accueilli par une des filles de la famille, qui lui étale du "henna" sur son front, Le père paie le salaire du Hajjam . Les invités donnent quelques sous ou des œufs à l'enfant que la mère met dans son "terbouch". 
Ainsi,  les préparations de la célébration commencent, le coran est lu dans la maison, des repas spéciaux sont préparés, les invités dansent et chantent leurs fameuses chansons de "El ssaf", tout en souhaitant une longue et heureuse vie pour l'enfant. Cette opération longtemps réalisée sans anesthésie et qui est évidemment très douloureuse, de nos jours, elle se pratique sous anesthésie par des médecins chirurgiens et le coté folklorique qui charme bien les gens et de plus en plus rare. 

- Mouloud El nabawi El-charif

Les festivités commencent au début du mois de Rabie El awal, les drapeaux sont plantés sur les toits des maisons, jusqu'à la douzième nuit "la nuit de la naissance du prophète Mohammed" (que la paix et le salut soient sur lui).   Les petites filles sortent à la cour, chantent leurs chansons de "Elssaf", dansent et utilisent des instruments musicaux tels que "la derbouka" "le bendir" très répandu dans la région.  Les hommes de la tribu sont réunis après "salat el aâsr" ou "El maghreb" à la mosquée pour lire le coran, faire leurs prières pour le prophète et assister aux leçons de moral et de religion, jusqu'à la prière de "El ichaâ". "La nuit de sa naissance, (que la paix et le salut soient sur lui), les femmes mettent du "Henna" sur leurs mains et pieds, se partagent la charité et la paix dans une atmosphère joyeuse. Elles chantent leurs chansons connues, font leurs prières pour le prophète jusqu'à l'aube, elles lancent leurs "zgharides" marquant l'heure de la naissance du prophète (que la paix et le salut soient sur lui)". 

Enfin, la festivité du Mouloud est l'une des coutumes sacrées dans la région de Msirda. Les habitants s'attachent à leurs mœurs et traditions malgré le colonialisme, d'ailleurs c'était un moyen de
Revue  Faculté des Lettres  -







Cette Algérie que le système ne connait pas


















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Contrairement à ce qui avait été affirmé par de nombreux médias algériens, le procès du fils d’Abdelmadjid Tebboune, ex-premier ministre et candidat aux élections présidentielles du 12 décembre prochain, ne se tiendra pas au cours de cette semaine, a-t-on appris au cours de nos investigations. 
Il faut savoir que le fils d’Abdelmadjid Tebboune, à savoir Khaled Tebboune, a été placé en détention provisoire le 20 juin 2018, dans le cadre de l’affaire de saisie de 701kg de cocaïne au port d’Oran. L’ex-chauffeur de l’ancien patron de la police nationale Abdelghani Hamel, mais également l’ex-procureur de la République près le tribunal de Boudouaou et son adjoint ainsi que Lemhel Mohamed Djalal Eddine, fils de l’ancien wali Ibrahim Lemhel.
Des sources judiciaires bien au fait de ce dossier ont confié à Algérie Part qu’aucune date précise n’a été fixée pour la tenue de ce procès. Et pour cause, le parquet général du tribunal de Sidi M’hamed à Alger a introduit dans cette affaire un pourvoi en cassation au niveau de la Cour Suprême. Et cette procédure risque de prendre beaucoup de temps. En effet, entre le Procureur Général et le juge d’instruction en charge de cette affaire au niveau du tribunal de Sidi M’hamed, il n’y a pas de convergence de vue. Le premier réclame à ce que cette affaire soit qualifiée de “criminelle” et le deuxième considère que les faits reprochés aux accusés relèvent seulement du “délit”.  La Cour Suprême doit trancher sur cette divergence avant de programmer la tenue du procès.



Bientôt   , encore un effort pour le peuple algérien
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Le peuple algérien exige un président qui gère le pays correctement  ,
 complément déconnecte de l'ancien système , Octobre 2019
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50 000 médecins cubains dans les hôpitaux algériens

Ils exercent dans 14 wilayas du pays

La mission médicale cubaine en Algérie ne compte pas moins de 50 000 médecins exerçant dans les hôpitaux du pays, notamment à Alger et dans le sud du pays.
C'est du moins le chiffre avancé par l'ambassadrice de Cuba en Algérie, Mme Clara Margarita Pulido Escodell, dans un point de presse qu'elle a animé au terme de sa mission en Algérie.
Les médecins cubains exercent dans 14 wilayas et dans des spécialités bien précises, notamment l'ophtalmologie, l'endocrinologie, la pédiatrie et la gynécologie.

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En France aussi , les algériens sont en colère

Réda Kouninef, l’homme qui parle à l’oreille de Saïd Bouteflika

Hommes d’affaires et influents lobbyistes de l’ombre. C’est le secret de la réussite étincelante
 des trois frères Kouninef. Une réussite qui a fait de ces trois mousquetaires les
 “princes des oligarques”. On ne compte plus le dossiers où ils ont été les principaux instigateurs. 
En 2015-2016, le stratège Réda Kouninef le déclencheur de l’offensive contre Issad Rebrab, l’homme d’affaires le plus riche d’Algérie, et héritier de l’Etat-DRS longtemps combattu par Bouteflika. Lors du lancement des méga-projets, c’est lui qui négocie  les accords avec les multinationales.

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Manifestation en Algérie de ce mois d'octobre 2019
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Le peuple algérien a choisit 

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Les algériens comprennent parfaitement la politique 




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Panthére en Algérie (1929)
 Panthère abattu en 1929  , par la colonisation française ,  dans les forets de Jijel.
Y aura t-il encore des panthères en Algérie ?. Le dernier spécimen aurait été abattu à Sidi Ali Bounab près de Tizi Ouzou. Mais beaucoup pense que la panthère pourraient être toujours présente en Algérie
 L'animal sur la photo ci dessous  est une genette ;je ne sais pas si il en reste encore des spécimens aujourd’hui ; mais durant l'hiver 1986 ;j'ai eu la surprise d'en rencontrer une sur la route N12 reliant Azazga à Yakouren aux alentours de minuit ; elle était sur un rocher à deux mètres au dessus de la route dans un virage et s'est retrouvée éblouie par les phares de ma voiture ;elle m'a fixé du regard jusqu'à ce qu'elle soit replongée dans le noir .au début j'ai crût que c’était un gros chat mais j'ai compris à la forme de son museau et à sa taille que c'était un autre animal ,je l'ai identifié par la suite en consultant des photos sur des livres animaliers.
par ailleurs quelques années auparavant je suis tombé sur le cadavre encore chaud d'un serval sans doute empoisonné par des éleveurs de poulet sur un chemin forestier à trois cent mètres d'une petite ferme avicole toujours dans la région d'Azazga.
Nos forets ont tellement était dégradées par les incendies volontaires à répétition qu'il n'en reste presque plus rien et c'est une grande perte pour la bio-diversité locale parce-que notre patrimoine naturel aussi précieux que notre histoireImage


contre le 5eme mandat




Qui sont les Chinois d'Algérie ?
 Avec près de 40 000 expatriés, les Chinois forment la première communauté étrangère d'Algérie. Ils y ont la réputation d'être travailleurs, sérieux, discrets... Mais aussi généreux en bakchichs.
Nous sommes à Allaghane, à 150 km à l'est d'Alger, dans la base de vie de China Railway Construction Corporation (CRCC), l'entreprise chargée de la réalisation d'une autoroute entre la capitale et Béjaïa. Ce matin d'avril, devant des villageois venus se plaindre des retards d'indemnisation après la démolition de leur maison, l'expropriation de leurs terres ou le déracinement de leurs oliviers, Hang Chang, l'un des superviseurs du projet, explique à grands éclats de rire ce qui différencie les Chinois des Algériens : "Vous manger, dormir, pas beaucoup travailler...Chinois pas dormir, Chinois travailler." La réunion expédiée, il monte dans son pick-up et fonce vers l'un des nombreux chantiers où s'active une armée de ferrailleurs, maçons et autres bétonneurs. Pas de temps à perdre : l'autoroute doit être achevée avant la fin de 2016.
vendredi du pardon




 Bubale d'Afrique du Nord (Alcelaphus buselaphus buselaphus)
Le bubale d'Afrique du Nord était autrefois domestiqué par les égyptiens et utilisé pour les sacrifices. Des cornes de l'animal recueillies dans des tombes égyptiennes indiquent son importance mythologique et la source de nourriture qu'il pouvait représenter. En Égypte, il était autrefois réparti dans tout le désert occidental, mais aucune preuve de sa présence récente n'a été établie. En Libye, cette antilope vivait dans le désert occidental, mais s'est éteinte de ces régions bien avant qu'il ne disparaisse totalement.
Jusqu'au XIXe siècle, le bubale d'Afrique du Nord était encore largement répandu dans les montagnes du sud de la Tunisie et d'Algérie. L'arrivée des colons au Maroc et en Algérie a sonné le glas pour ce bubale. Il fut massacré par les chasseurs sportifs. Au début du XXe siècle, ce bovidé ne survivait plus que dans les montagnes sud de l'Algérie et les montagnes de l'Atlas au Maroc. Les grands troupeaux trouvés au nord des montagnes de l'Atlas 100 ans plus tôt avaient disparu, ne laissant que de bons souvenirs dans l'esprit de quelques colonels français qui organisaient des massacres au début de l'occupation française. Mais les chasseurs continuaient de braver les terrains accidentés pour rechercher les derniers survivants.
Le dernier rapport fiable rapportant la présence d'un bubale d'Afrique du Nord en Algérie date de 1902. Un spécimen avait été abattu au bord du Grand Erg oriental, au sud-ouest de Tataouine. On dit qu'il a disparu d'Algérie vers 1930, survivant plus longtemps dans la partie occidentale de l'Atlas saharien, près de la frontière avec le Maroc.
De 1883 à 1897, une femelle en captivité résidait encore au zoo de Londres et un autre animal a vécu de 1906 à 1907 au même endroit. La femelle vivant en captivité et décédée au Jardin des Plantes à Paris, le 9 novembre 1923, est généralement considérée comme étant le dernier spécimen de cette sous-espèce de bubale roux.
Une des ironies dans la disparition du bubale d'Afrique du Nord, c'est que, en dépit de son habitat désertique, il était très présent en captivité depuis plus de 18 ans avant son extinction. Pour un écologiste moderne, cet animal aurait pu être un sujet idéal pour un programme de sauvetage et d'élevages en captivité.
Algérie en mouvement


 En 1936 , Henri Heim de Balsac  soutient une thèse en sciences naturelles à la Faculté des sciences de l'Université de Paris ayant pour titre : Biogéographie des mammifères et des oiseaux de l'Afrique du Nord1
Pour une fois je n'ai pas envie de te quitter mon Algérie

L’email a bien été copié

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Quacentina, Constantine, un peuple, une région noble et fière .

Tourisme, artisanat, histoire, culture, panorama naturel sont des éléments indissociés de cette cite. Elle est tout cela à la fois.  Avant d...