En Algérie, les seules start-up qui ont réussi, du moins les plus connues, activent dans les services de transport de personnes (applications de taxis). Y a-t-il d'autres success-stories que le grand public n'a pas encore découvertes ?
Nous avons des success stories dans plusieurs secteurs. Des start-up telles que Legal doctrine première legal tech africaine, Emploitic qui s'est lui aussi développé en Afrique, dans le secteur du e-learning i-Madrassa qui propose du soutien scolaire pour des centaines de milliers d'élèves, et Quizzito qui propose des jeux éducatifs dans 7 pays de la région MENA.
Dans l'intelligence artificielle, la start-up Big Mama développe des solutions pour les plus grands groupes en Algérie et en France. La start-up a notamment gagné un concours face à des ingénieurs de Harvard. Dans les Fintech, la start-up AEBS collabore avec plus de 200 banques partout dans le monde, et dans les services IT Altius Mena exporte ses services en France et dans la région MENA, une autre start-up que tous les Algériens connaissent est Ouedkniss qui s'est aussi lancé dans le e-commerce, etc.
La liste est longue et je m'excuse par avance pour toutes celles que je n'ai pas citées, et ce n'est qu'un petit aperçu de ce que les start-up algériennes réussissent à faire, ces gens-là travaillent en silence et n'occupent pas les plateaux télé. Certaines pourraient devenir de véritables champions africains ou même mondiaux si l'écosystème leur est favorable, et cela est notre mission.
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