Près de 70 milliards de centimes pour la réalisation d'un parc de loisirs au niveau de la cité «Ettefah». Le wali Ali Bouguerra a donné le coup d'envoi de ce projet pour doter la ville de Tiaret d'un grand espace de loisirs et de détente. En effet, sur plus de 17 hectares et longeant la route de l'aéroport de Aïn Bouchekif, le jardin citadin dont l'étude a été assurée par «URBATIA», fonctionnera à l'énergie solaire pour les installations dont un plan d'eau alimenté avec la récupération des eaux pluviales. Il est également composé de quatre terrains de sport dont un boulodrome, un parcours sportif et autres attenances pour enfants.
Un autre jardin pédagogique sera réalisé au sein de l'ex-jardin Bouscarin, au centre-ville de Tiaret, un projet né d'une collaboration entre l'université Abderrahmane Ibn Khaldoun et la Fondation pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (FOREM). Quant au parc aquatique, longtemps évoqué, le projet n'a toujours pas vu le jour.
Seule ombre au projet, la plantation d'arbres non adaptées au milieu urbain est dénoncée par des spécialistes, à l'image du botaniste Lakhdar Chouikhi. Pour ce dernier, on doit prendre en considération plusieurs paramètres comme le climat et la nature du sol (pédologie). « Cela n'a pas été le cas pour le jardin public « Mohamed Djahlane», choisir des espèces rustiques de hautes tiges adaptées au climat semi-aride afin de bénéficier de l'ombrage en période de chaleurs », suggère Lakhdar Chouikhi. Le platane, le frêne, le saule pleureur, le saule tortueux, le marronnier commun ou encore l'olivier de bohème sont des espèces adaptées, selon Lakhdar Chouikhi. Pour les plantes de bordures, le fusain, le romarin, ou des arbres vivaces comme le gazania, les marguerites, le géranium (plusieurs coloris), les lilas ou encore les œillets de poète sont les variétés adaptées au climat de Tiaret et sa région.(Le Qutidien d'Oran, par Houari Dilmi, mai 2024).
Un autre jardin pédagogique sera réalisé au sein de l'ex-jardin Bouscarin, au centre-ville de Tiaret, un projet né d'une collaboration entre l'université Abderrahmane Ibn Khaldoun et la Fondation pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (FOREM). Quant au parc aquatique, longtemps évoqué, le projet n'a toujours pas vu le jour.
Seule ombre au projet, la plantation d'arbres non adaptées au milieu urbain est dénoncée par des spécialistes, à l'image du botaniste Lakhdar Chouikhi. Pour ce dernier, on doit prendre en considération plusieurs paramètres comme le climat et la nature du sol (pédologie). « Cela n'a pas été le cas pour le jardin public « Mohamed Djahlane», choisir des espèces rustiques de hautes tiges adaptées au climat semi-aride afin de bénéficier de l'ombrage en période de chaleurs », suggère Lakhdar Chouikhi. Le platane, le frêne, le saule pleureur, le saule tortueux, le marronnier commun ou encore l'olivier de bohème sont des espèces adaptées, selon Lakhdar Chouikhi. Pour les plantes de bordures, le fusain, le romarin, ou des arbres vivaces comme le gazania, les marguerites, le géranium (plusieurs coloris), les lilas ou encore les œillets de poète sont les variétés adaptées au climat de Tiaret et sa région.(Le Qutidien d'Oran, par Houari Dilmi, mai 2024).
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