En tirant les leçons du passé , la reprise du barrage vert n’a pas été conçue comme un mur d’arbre entre le sahara et le nord du pays.
Il est utile de rappeler aujourd’hui que dans le passé, il y a eu la «monoculture» à base d’une seule espèce qui a causé des dégâts répétitifs suite aux attaques de la chenille processionnaire. Une démarche considérée comme une erreur.
Il faut aussi, reboiser pour relancer une économie verte en plantant des arbres utiles pour les habitants de la steppe, éradiquer la pauvreté et booster une agriculture à moindre coût (arbres fruitiers rustiques).
Ce qui signifie qu’en plus des arbres, il est utile de créer un ensemble d’activités agro-pastorales génératrices de revenus. Cette fois-ci, le jujubier, le caroubier et l’alfa sont entre autres les espèces choisies et ce selon les régions et les sols.
Le barrage vert, faut-il le rappeler s’étend sur 3 millions d’hectares, avec 20 km de largeur et une longueur de 1500 km. Il constitue un véritable obstacle physique.
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