samedi 4 janvier 2020

L'homme d'affaires libéré , Issad Rebrab espère relancer l’idée d’un méga-projet

Résultat de recherche d'images pour "L'homme d'affaires libéré , Issad Rebrab "L'homme d'affaires libéré , Issad Rebrab espère relancer l’idée d’un méga-projet de réseau ferroviaire transafricain. Selon lui, « c'est le moment ou jamais pour l'Afrique de devenir la locomotive de la croissance ». « L'Afrique a plusieurs défis : la sécurité alimentaire, les infrastructures, l'électrification, l'eau… Mais si je dois les classer par priorité, c'est le désenclavement de beaucoup de pays africains. Pour y arriver, le meilleur moyen, c'est le chemin de fer », s'enthousiasmait-il à l'Africa CEO Forum, le 20 mars 2017 à Genève
 Sur quoi fonde-t-il son projet ? 
Résultat de recherche d'images pour "L'homme d'affaires libéré , Issad Rebrab"Résultat de recherche d'images pour "L'homme d'affaires libéré , Issad Rebrab " D'abord, sur des données chiffrées de la démographie africaine. En 2050, la population devrait augmenter de 570 millions de personnes pour atteindre 2,5 milliards d'habitants. « Nombre de pays du centre de l'Afrique subsaharienne sont totalement enclavés sans pouvoir produire pour exporter leurs ressources et matières premières, et ainsi équilibrer leur balance commerciale », d'où l'enjeu majeur d'accélérer la circulation des biens et marchandises et, en bout de chaîne, de faciliter l'accès aux infrastructures portuaires.

Pour ce faire, il envisage deux lignes continentales : la première relierait l'Afrique du Sud, via la Zambie, à la Méditerranée et la seconde, Djibouti à l'Atlantique. Il veut doter l'Afrique d'une « colonne vertébrale ferroviaire » qui la traverserait de la Zambie aux ports de l'Algérie. Pour lui, « le rail serait le catalyseur de toutes les énergies économiques du continent ». Il voit à travers ce maillage les retombées pour l'Afrique dans le « développement agricole et industriel alors que de nombreuses terres sont encore à l'abandon », la possibilité de « réduire les coûts de logistique trop lourds aujourd'hui », de « créer des emplois » et d'« assurer une croissance durable équilibrante pour tous ces pays ».

Dans ce futur tracé, Rebrab veut intégrer des pays comme la Zambie, riche en mines de cuivre, le Congo, deuxième réserve de minerais au monde. « Le chemin de fer traverserait la ceinture industrielle et agricole du Tchad au sud avant de se diriger vers le nord de la République centrafricaine » pour se terminer en Algérie, un hub par excellence selon l'homme d'affaires.
« Une porte d'entrée et de sortie qui garantirait l'accès des marchandises à partir de trois pôles portuaires, des zones économiques et industrielles canaliseraient l'exportation».

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