Un magnifique poulain pur-sang arabe a été vendu mardi pour le modique somme de 83 millions de centimes lors d'une vente aux enchères publiques au haras national de chaouchaoua (jumenterie) de Tiaret. Du nom de «Ghouroub» et issu d'une lignée de pur-sang arabes dont le père, le célèbre «Sherlock Holmes» décédé dernièrement, le poulain à la belle robe marron et à la très belle allure a été vendu à un chanceux et heureux propriétaire originaire de Zemmouri , dans la wilaya de Bordj Bou Arrèridj.
Même s'il n'y avait pas grand monde mardi sur le champ du haras national Chaouchaoua, pour suivre la vente aux enchères d'une vingtaine de poulains et pouliches, des pur-sang arabes pour la plupart, les curieux étaient assez nombreux. Avec une mise à prix entre 50 et 70 millions de centimes, il y avait plus de curieux et autres intermédiaires, venus de plusieurs wilayas du pays, que d'acheteurs, «tant le contexte est marqué par le manque d'argent et la pandémie de coronavirus», commente un amoureux du noble équidé venu de la wilaya de Bord Bou Arrèridj. «La nourriture et l'entretien d'un cheval coûte très cher de nos jours», commente un autre propriétaire de chevaux, Med Dilmi. Bien que cinq (05) seulement des 21 chevaux aient été achetés dont le poulain «Ghouroub» contre la modique somme de 83 millions de centimes au terme d'une enchère des plus serrées, la joie n'était pas au rendez-vous chez les professionnels. C'est dire si le monde du cheval et toute la filière équine, se meurent à petit feu en l'absence de soutien des pouvoirs publics, le ministère de l'Agriculture en premier.
Même s'il n'y avait pas grand monde mardi sur le champ du haras national Chaouchaoua, pour suivre la vente aux enchères d'une vingtaine de poulains et pouliches, des pur-sang arabes pour la plupart, les curieux étaient assez nombreux. Avec une mise à prix entre 50 et 70 millions de centimes, il y avait plus de curieux et autres intermédiaires, venus de plusieurs wilayas du pays, que d'acheteurs, «tant le contexte est marqué par le manque d'argent et la pandémie de coronavirus», commente un amoureux du noble équidé venu de la wilaya de Bord Bou Arrèridj. «La nourriture et l'entretien d'un cheval coûte très cher de nos jours», commente un autre propriétaire de chevaux, Med Dilmi. Bien que cinq (05) seulement des 21 chevaux aient été achetés dont le poulain «Ghouroub» contre la modique somme de 83 millions de centimes au terme d'une enchère des plus serrées, la joie n'était pas au rendez-vous chez les professionnels. C'est dire si le monde du cheval et toute la filière équine, se meurent à petit feu en l'absence de soutien des pouvoirs publics, le ministère de l'Agriculture en premier.
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