C'est une question qui reste délicate pour les algériens partis en bateaux avant la pandémie du Corona.
En effet, nous n'avons pas les connaissances des lois et règlement des déplacements avec le véhicule personnel sur le territoire national.
Ainsi, certains de nos frères algériens ont du abandonnés le véhicule aux autorités pour pour voir retrouver leur emploi en France, en prenant un billet d'avion.Beaucoup de frais et une perte énorme pour des salariés aux revenus souvent peu élevés.
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