Un vent de panique des magasins
Il s'empare des commerçants de certaines villes algériennes par période.
En effet, lorsqu'une information circule concernant des contrôles d'une brigade multisectorielle, une psychose s'éleve auprès des commerçants qui s'empressent de baisser rideaux.
Et les clients incrédules trouvent alors des commerces fermés sans raison apparente.
Attention au contrôleur des impôts
Hormis quelques commerces comme les officines pharmaceutiques, les boucheries ou les pâtisseries, le reste des commerçants préfèrent attendre que « l'orage » des contrôles passe.
Attention au contrôleur des impôts
Hormis quelques commerces comme les officines pharmaceutiques, les boucheries ou les pâtisseries, le reste des commerçants préfèrent attendre que « l'orage » des contrôles passe.
Il s'agit le plus souvent de la vérification des factures et voir si les registres de commerce sont inscrits au niveau du portail électronique du CNRC.
Rumeur ou réalité, la prudence s'impose
Parfois, il s'agit juste d'une rumeur, mais par crainte, justifiée ou non, les commerces préfèrent fermer. Car le risque d'amendes très lourdes est réelle de même que la fermeture temporaire ou définitive de la boutique.
Le plus souvent, cette alarme ne dure que la journée. Mais dans le cas d'un contrôle réel, c'est la semaine entière qui est en alerte.
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