Représentant l’Algérie aux à ces
discussions Assia Jazairy a insisté mardi à News York sur le fait que
l’Afrique doit être représentée dans les deux catégories de membres au
Conseil de sécurité, permanents et non permanents, avec le droit de
veto, s’il n’est pas aboli.
« La Position commune africaine stipule que
la réforme du système des Nations Unies doit être inclusive et prendre
en compte la nécessaire amélioration des relations entre les deux
principaux organes que sont l’Assemblée générale et le Conseil de
sécurité », a-t-elle indiqué citée par l’Agence de presse des
Nations-unis.
Elle ajoute : « Le continent africain, qui a
le plus grand nombre d’États et qui représente les trois quarts du
programme de travail du Conseil de sécurité, reste mal représenté.
Aucun siège permanent n’est occupé par un État africain », a déploré la
représentante de l’Algérie. L’Afrique réclame donc la place qui lui
revient de droit et va continuer de défendre une réforme sensée qui
rende le Conseil de sécurité plus adapté à l’évolution du monde et plus
réactif aux défis émergents.
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